- Non, toujours pas... Tiens, si là
! Stop, arrête toi ! Ah, non, plus maintenant...recule... stop
!
- Alors, c'est bon ?
- Attend, il recherche... Ça y
est, je suis connectée.
- Vas y, envoie maintenant !
- Ah, ça a coupé !
- Attend, j'avance un peu, je pense que
le réseau sera meilleur devant le portail.
- C'est bon, c'est revenu... 9 messages
envoyés et... 73 messages à recevoir...
- Oh, la vieille sur son balcon s'est
levée, vite, file moi la carte... Alors... Où est ce
qu'on dort ce soir ?
[Petite voix de derrière] - Mais
maman, on dort au camping ! On a monté la tente toute à
l'heure.
- C'est bon, j'ai réceptionné
tous nos mails et publié le prochain article pour notre
site... On s'arrache !
Telle une voiture banalisée en
filature, nous recherchons discrètement un spot wifi privé
non sécurisé, sur lequel nous pouvons nous connecter.
Bien que l'Australie soit un pays développé, peu
d'internet cafés existent ici en Tasmanie, nous n'en n'avons
d'ailleurs rencontré aucun, seulement quelques restaurants qui
proposent le wifi à la carte : 3 dollars pour 15 minutes... et
pas une de plus ! Internet est cependant accessible dans les
bibliothèques, présentes dans de nombreuses petites
villes. Le tarif y est toujours aussi cher, et on ne peut que
rarement y connecter notre ordinateur. Nous mettons donc en pratique
une astuce connue de bien des routards, qui consiste à trouver
un spot wifi non sécurisé dans un quartier résidentiel.
Ce n'est pas très confortable, mais ça permet au moins
de récupérer nos mails de temps en temps, de poster un
petit article, et ce pour pas un rond.
La semaine prochaine, je
vous raconterai comment nous nous débrouillons, ici, en
Tasmanie, pour manger un bon bifteck à moindre coût.
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